Une Gazette de reprise !
Et voilà, ça y est ! Après un break de 3 semaines sans TGV, me voilà de retour dans ma Gazette SNCF. Une reprise un vendredi sous un beau soleil Nantais, avec un train tellement content de me revoir qu’il m’a attendu !!! Pour une fois qu’un retard de train se fait au bon moment… c’est à peine croyable !!! Les 5 minutes qu’il me fallait pour ne pas le louper, et rentrer à Paris avec le sourire et à l’heure !!! Magique …
Cette coupure était dans un timing parfait !
J’ai ainsi raté les grèves SNCF à répétition, mais aussi les manifestations violentes à Nantes et à Paris. Un moment un peu hors du temps et de l’actualité, souvent usante. Une bulle d’oxygène au bord de la mer, rythmée par les marées, et les belles soirées qui n’en finissent plus… comme un air de vacances !
Juin : le mois le plus agité de l’année, le plus actif, le plus éveillé.
Il y a tout d’abord les jours les plus longs de l’année, l’été qui est enfin là (même si cette fois, ce n’est pas toujours certain…) et quelques jours de vacances. C’est aussi la période où la collection d’été pour Mat de Misaine est enfin achevée, délivrée, donnée. Avec une présentation aux équipes, aux agents et aux acteurs de sa création, tous très enthousiastes et motivés. Un moment toujours stressant… Cette présentation s’agrémente de soirées très animées et bien sympathiques. C’est un moment fort dans l’année, que j’ai toujours vécu avec émotion.
Transition
C’est une rentrée des classes, où il faut laisser la collection terminée aux autres équipes et passer à une autre, tourner une page et en commencer une toute nouvelle ! Tout reste donc à faire, à imaginer, à réinventer !!! Aller hop, c’est reparti pour un nouveau tour de manège, avec de nouvelles aventures de voyage, de train et d’avion pour alimenter ma Gazette. Et des idées à profusion pour la collection Hiver 2017.
A très vite dans ma Gazette !
Où parfois les choses se font dans la bonne direction, et le hasard est alors de bon augure ! J’ai en effet, la chance de créer les collections pour une marque de style marin : 
J’ai donc allié mon travailler pour la création, un train que je ne connaissais pas, et j’ai profité de la plage en faisant du kitesurf. Le pied !!!! Parce qu’en plus le vent était au rendez vous ! Voilà comment concilier l’utile à l’agréable ou associer les obligations professionnelles à la douceur de vie en bord de mer.
Respirer l’air marin, oxygéner mes neurones, et vivre au rythme des 
Une très jolie ville de montagne, fleurie et piétonne, traversée par le cours d’eau de l’Arve, avec de belles terrasses, de jolies boutiques, le tout entouré des montagnes des Alpes et du Mont Blanc. Très imposant et majestueux environnement. Quand on est là, on se sent tout de suite écolo, on a envie de protéger ce somptueux cadre de nature, et de vie. Cette ville tournée vers les activités de plein air (ski, marche, parapente, trekking, …) accueille une foule de gens très variée. C’est amusant de croiser un groupe d’indiens ou de japonais, des coureurs en pleine action, des skieurs en chaussure avec ski sur l’épaule et de simples autochtones blasés par le spectacle. Les maisons et l’esprit montagnard ont été totalement préservés, ce qui permet à Chamonix d’avoir un charme total quelque soit la saison.
C’est le 
Il y a deux gares à Chamonix. Celle de la voie classique et celle de la gare du 
Nous y avons fait de très, très belles randonnées, d’un bout à l’autre de la vallée, de Servoz jusqu’à Vallorcine. Et nous avons encore une belle liste qui nous attend. La plus belle et impressionnante des randonnées de cette année fut celle du 
Point de départ, mondialement connu, pour de nombreux montagnards, skieurs, alpinistes et randonneurs de haute montagne, pour une descente à ski vers Chamonix, une traversée de la vallée blanche ou l’ascension vers le Mont Blanc. L’
Que se passe-t-il pendant cette gazette Vendéenne? J’attends le vent. C’est une activité à plein temps, qui demande de l’adaptation, du rebond et de la bonne humeur.
En première position : l’ile de Ré
Le port de la
Pour commencer : 3 personnes devant moi et 20 bonnes minutes pour voir l’infirmier. La salle d’attente est bondée, mais plutôt calme. Un panneau d’affichage annonce la couleur : entre 4 et 6 heures d’attente, histoire de poser le cadre et l’ambiance ! Mais je n’ai pas d’autre solution…L’infirmier prend mon nom, ma carte d’identité, ma carte vitale et mon numéro de téléphone. Il m’annonce que oui, il y a bien entre 3 et 6 heures d’attente et que non il faut rester là !!! Que si je rate mon tour, c’est foutu, il faudra faire la queue de nouveau!
Rien ! C’est encore et toujours la grève de la Gazette à la